Le CBD et le sport de haut niveau : récupérer sans tricher

Longtemps banni par méconnaissance, le CBD s’impose désormais dans le monde du sport professionnel. Depuis 2018, l’Agence mondiale antidopage (AMA) l’a retiré de sa liste des substances interdites — une reconnaissance qui change tout.

Un anti-inflammatoire naturel

Après un effort intense, le corps subit microtraumatismes et inflammation musculaire.
Le CBD, grâce à son action sur les récepteurs CB1 et CB2, réduit la réponse inflammatoire et accélère la récupération.
Des athlètes comme Megan Rapinoe ou le cycliste Andrew Talansky l’utilisent pour récupérer sans recourir aux anti-douleurs classiques, souvent mal tolérés à long terme.

Meilleur sommeil, meilleure performance

Le CBD améliore également la qualité du sommeil profond, étape essentielle à la régénération musculaire.
En agissant sur la sérotonine et le GABA, il favorise un endormissement plus rapide et un sommeil plus stable — un atout décisif pour les sportifs soumis à des rythmes irréguliers ou à la pression des compétitions.

Une alternative saine, mais pas magique

Le CBD ne dope pas, il équilibre. Il ne remplace ni la nutrition ni l’entraînement, mais s’intègre dans une approche de performance durable.
De plus en plus d’équipes encadrent son usage avec des analyses de pureté pour éviter la contamination au THC, encore interdite en compétition.

Le CBD s’impose ainsi comme un partenaire naturel de la performance moderne : un outil de récupération, d’équilibre mental et de prévention, qui redéfinit la frontière entre soin du corps et respect du sport.

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